vendredi 30 juin 2017

Une surprise et du classique

Trois des favorites en quarts de finale ont gagné. Elles sont accompagnées de la surprise japonaise sortie des qualifications Mari Osaka.

Finaliste l'an passé, Olga Saez Larra
fait figure de favorite.
© Sylvain Desgroppes.
Le tableau final de l'Engie Open du Périgord avance à grands pas. A chaque jour, et donc à chaque tour, le même schéma. Cette année, les favorites ont globalement répondu présentes. Mais les surprises auront été là aussi pour animer les journées. Hiroko Kuwata éliminée au premier tour, Usue Maitane Arconada et Ayano Shimizu au second.

jeudi 29 juin 2017

Aux petits soins des raquettes

Impossible d'organiser un tournoi de tennis international de ce niveau sans un cordeur. Périgueux est gâté avec un spécialiste, Gilles Viacroze.

Gilles Corviaze est présent toute la durée du tournoi
pour répondre aux demandes des joueuses.
© Sylvain Desgroppes.
A l'Engie Open du Périgord de Périgueux, impossible de le manquer. A l'entrée, sa tente est la première que l'on trouve. Celle où l'activité est la plus importante, de 9h00 le matin et jusque quelques minutes après le dernier match du soir. Gilles Viacroze est le cordeur de ce tournoi ITF de 25000 $, aux petits soins et à l'écoute des demandes des joueuses pour leur fournir le meilleur matériel possible.

Entre les gouttes

Le deuxième tour a respecté les habitudes de l'édition 2017 de l'Engie Open du Périgord : entre les averses, peu de surprises à se mettre sous la dent.

Jessika Ponchet, ici lors de son premier tour, a réussi
la performance de la journée en proposant un tennis d'attaque.
© Sylvain Desgroppes.
Pour le deuxième jour d'affilée, il aura fallu composer tout d'abord avec les averses à l'Engie Open du Périgord, avant qu'un gros orage n'inonde définitivement les courts. Bilan, alors que les premières gouttes étaient tombées dès 12h35, c'est à 14h30 que toutes les joueuses se seront dirigées vers les trois courts couverts pour terminer le programme de la journée.

mercredi 28 juin 2017

Le Japon en force

Cette année, la délégation japonaise est particulièrement présente à Périgueux, avec cinq joueuses inscrites dans le tournoi.

Masashi Yoshikawa, à gauche de la photo,
est le coach de la fédération japonaise.
© Sylvain Desgroppes.
Un calendrier décalé d'une petite semaine, des choix de fédération, des choix de joueuses aussi, le hasard en plus, et voilà comment un tableau peut fortement évoluer entre deux éditions d'un même tournoi. C'est le cas cette année à l'Engie Open du Périgord, tournoi ITF de 25000$ qui a vu les délégations étrangères bien changer.

Logique respectée

Avec cinq des six têtes de série en course ce mardi qualifiées sur les six, la deuxième partie du premier tour aura confirmé la tendance : les favorites sont là.

La performance de ce mardi a été réalisée par la française
Léa Tholey, la seule a éliminer une tête de série au 1er tour.
© Sylvain Desgroppes.
Ce mardi a pris fin le premier tour des matchs en simple. Pas de place pour de grandes et belles histoires, en dix matchs, la joueuse la mieux classée s'est qualifiée neuf fois, dont cinq fois en seulement deux sets. La quasi-totalité des têtes de série sera ainsi sur les courts ce mercredi pour le second tour.

mardi 27 juin 2017

Patty Schnyder sur les courts du CAP

Alors que le tableau principal s'est ouvert hier, une joueuse ne passe pas inaperçue, la suissesse Patty Schnyder, ancienne numéro 7 mondiale.

Ancienne numéro 7 mondiale, Patty Schnyder effectue ce soir
son entrée dans le tableau final à Périgueux.
C'est l'un des événements de cette nouvelle édition de l'Engie Open du Périgord. Après Mathilde Johansson en 2015 ou encore Arantxa Rus l'an dernier, le tournoi ITF de Périgueux accueille encore cette année une ancienne grande championne du circuit mondial. Il s'agit de la suissesse Patty Schnyder.

Peu de surprises

Alors que s'est ouvert ce lundi le tableau final de l'Engie Open du Périgord, peu de surprises dans des premières rencontres toutefois serrées.

La grosse performance est pour Maelys Bougrat, qui s'offre
un deuxième tour en tournoi 25000$ à quinze ans seulement.
© Sylvain Desgroppes.
Six des seize matchs du premier tour se déroulaient ce lundi en ouverture de l'Engie Open du Périgord, tournoi ITF de 25000$. Pour les trois françaises opposées à des joueuses étrangères, pas de suspense, aucune n'a renversé la hiérarchie établie.

lundi 26 juin 2017

Des surprises en qualification

Le deuxième tour des qualifications aura réservé son lot de surprises, et aussi de belles histoires notamment pour deux jeunes françaises.

Comme Diane Parry, quatorze ans, la française Maelys Bougrat,
quinze ans, accède au tableau principal.
© Sylvain Desgroppes.
Après un premier tour de qualification qui aura vu évoluer de très nombreuses jeunes joueuses, mais où la logique aura été relativement respectée, ce dimanche, le deuxième tour aura proposé de belles empoignades, certaines se concluant par un renversement de la hiérarchie.

dimanche 25 juin 2017

Place aux jeunes

Dans un premier tour de qualifications dense comme très rarement à Périgueux, de nombreuses jeunes, en particulier les françaises, se sont distinguées.

L'une des surprises du premier tour est la qualification
de la jeune française Diane Parry.
© Sylvain Desgroppes.
Ce samedi s'est ouvert à Périgueux l'Engie Open du Périgord, tournoi ITF de 25000$. Au programme pour commencer, les qualifications. Et d'entrée, les organisateurs n'auront pas eu de temps pour s'échauffer. En effet, comme très rarement jusqu'alors, le tableau s'est rempli avec trente-et-une joueuses inscrites.

samedi 24 juin 2017

A l'international

Ce samedi s'ouvrent les qualifications de l'Engie Open du Périgord, tournoi international féminin doté de 25000$.

Battue l'an passé en finale, l'espagnole Olga Saez Larra a
progressé de plus de cent places depuis et sera à surveiller.
© Eube-captennis.
En cette fin du mois de juin, comme tous les ans depuis 1996 maintenant, Périgueux va vibrer au son des balles de tennis et des coups de raquette. En effet, ce samedi s'ouvre sur les terrains du CAP tennis une nouvelle édition de l'Engie Open du Périgord, tournoi international féminin sur terre battue réunissant des joueuses classées à la WTA.

vendredi 23 juin 2017

Trois passions en une

Licencié au CAP Triathlon, Fabrice Bossion se dépense sans compter dans sa discipline, qu'il vit autant comme un sport que comme un moyen d'évasion.

Fabrice Bossion, aux côtés de sa
compagne Valérie Ducatillion
en mai à Bratislava.
© D.R.
Comment un sport peut faire partie intégrante d'une vie. Fabrice Bossion pourrait en parler pendant des heures. Pour lui, le triathlon est un moyen de s'entretenir, physiquement et moralement. Mais c'est aussi un moyen de pratiquer sa passion et d'y trouver un réel plaisir. Et c'est enfin une bonne excuse pour s'offrir quelques belles vacances à partager en famille.

mercredi 21 juin 2017

Bergerac déjà prêt

La semaine dernière, le président du BPFC annonçait en conférence de presse le programme estival, entre mercato, préparation, rencontres amicales, et « Very Big Match ».

Le BPFC se prépare pour une nouvelle saison, espérée aussi
intense que la précédente (ici après la victoire contre Lens).
© Sylvain Desgroppes.
Quand on évolue en CFA, et avec la structure et les ambitions que sont celles du Bergerac Périgord Football Club, on ne peut pas se permettre de laisser trop de place à l'imprévu. La semaine dernière, Christophe Fauvel, le président du club, tenait ainsi une conférence de presse pour officialiser la quasi-totalité du mercato, et le programme de reprise.

mardi 20 juin 2017

L'entraîneur du BPPH dévoilé

Après deux semaines de recherches, le BPPH a enfin trouvé son entraîneur pour la N1 et la filière féminine la saison prochaine.

Pascal Carfantan sera le nouveau coach du BPPH cette saison.
© D.R.
A Bergerac, après Sébastien Eyheramono (2014-2016) puis Gaël Monthurel (2016-2017), on va connaître un nouvel entraîneur à la tête de la Nationale 1. Le dernier en date parti pour Saint Valéry (N1), Bergerac aura mis quinze jours depuis la fin du championnat pour rebondir.

lundi 12 juin 2017

Pas de miracle

Battues lors du match aller chez elles, les bergeracoises n'auront pas cru longtemps à l'exploit du côté de Mérignac-Arlac.

Les bergeracoises, en bleu, ont été dépassées par
la vitesse et la technique des arlacaises.
© Sylvain Desgroppes.
Stop ou encore ? La donne était simple pour les deux équipes lors de ce match retour de barrages. A Arlac, les féminines du BPFC savaient que leur mission serait compliquée, contre une équipe jusqu'alors invaincue. Avec une chose en tête : une qualification pour participer à un deuxième tour de barrage et éventuellement accéder à la D2. Ou une défaite, synonyme de la fin de la saison.

samedi 10 juin 2017

« On existe encore »

Battues à domicile lors du match aller, les bergeracoises continuent de croire en leurs chances pour ce match retour de barrage d'accession en D2 à Arlac.

Comme lors du match aller, c'est dans la conquête et
le gain des duels que Bergerac devra répondre pour espérer.
© Sylvain Desgroppes.
L'espoir et l'envie de croire en soi, et ce malgré quelques regrets, voilà résumé en quelques mots les sentiments et l'état d'esprit du BPFC en cette semaine de préparation du match retour de barrage. Les regrets, ils ne concernent pas la première période, dominée par Mérignac-Arlac la semaine dernière, mais plutôt le deuxième acte, où Bergerac a su trouver des solutions.

vendredi 9 juin 2017

Un bilan contrasté

Les dirigeants bergeracois sont mitigés à l'heure des bilans cette saison, entre satisfaction (réserve et jeunes) et regrets pour l'équipe fanion en N1.

Le manager général Michel Cassier (à gauche), aux côtés
du président du BPPH Eric Froin.
© BPPH.
En juin dernier, c'était dans l'effervescence que le BPPH terminait sa saison, et surtout se lançait déjà dans la suivante. Avec en annonces phares l'entente avec le club de Montpon, et l'arrivée à la tête de la N1 de Gaël Monthurel, l'international français notamment champion du monde avec l'équipe des ''Barjots'' en 1995.

mercredi 7 juin 2017

Coachs : les premiers mouvements

Alors que le mois de juin commence juste, on s'organise dans les clubs périgordins de ligue, avec quelques changements sur les bancs de touche.

L'un des co-présidents boulazacois, Franck Autière, aux côtés
de son nouveau coach Dragan Keserovic.
© Sylvain Desgroppes.
Pour cette saison 2016-2017, la Dordogne comptait seize représentants en ligue d'Aquitaine. La saison prochaine, ils seront dix-huit à représenter les couleurs du département dans la toute récente ligue de Nouvelle-Aquitaine, puisque aux seize équipes se rajoutent comme chaque année les deux promus de Départementale 1 (Faux et Pays de Montaigne Gurçon).

lundi 5 juin 2017

Bergerac reste dans le match

Battues à domicile pour le match aller de ce premier tour de barrage par Mérignac-Arlac, les bergeracoises peuvent tout de même espérer.

Mérignac a dominé le début du match dans l'envie
pour vite faire la différence.
© Sylvain Desgroppes.
Pour la deuxième année consécutive, les féminines du BPFC participent à un premier tour de barrage d'accession en Division 2. Après la double confrontation contre Caen l'an passé, c'est cette fois face à Mérignac-Arlac qu'il faut en découdre. Un tirage au sort presque malheureux que d'affronter une équipe de la même ligue.

Une sortie manquée

Malgré quelques espoirs pour s'accrocher en première période, Bergerac signe un non-match et termine sur une mauvaise note sa saison...

Collectivement, techniquement, mentalement, les
bergeracoises sont passées à côté du dernier match de la saison.
© Eva FG
En deux chiffres, le dernier match de la saison des bergeracoises peut se résumer. Seulement 2-2 après onze minutes de jeu. Et un 19-9 encaissé dans les vingt-deux dernières minutes. Voilà comment les joueuses du BPPH terminent leur saison de N1, malheureusement sur une mauvaise note devant un public qui était venu nombreux.

samedi 3 juin 2017

Ne pas se rater

L'an passé, pour leur premier tour de barrage de leur histoire, les bergeracoises avaient payé cher leur match aller manqué à domicile contre Caen...

Les bergeracoises se préparent pour un gros défi
face aux arlacaises ce dimanche au Pont Roux.
Pas de place pour le laisser-aller chez les féminines du BPFC. Une semaine après leur déception et leur défaite en finale de la coupe d'Aquitaine face à la réserve des Girondines de Bordeaux, les bergeracoises sont de nouveau sur le pont pour un match à enjeux. Cette fois, il s'agit de la manche aller du premier tour de barrage pour l'accession en D2.

Pour une belle dernière

Le BPPH termine sa saison à domicile par une journée de fête, et espère s'imposer pour finir en beauté cette saison, pour la dernière aussi de Gaël Monthurel.

Gaël Monthurel dirige
son dernier match.
© Philippe Greiller.
Sur le papier, et après un rapide regard sur le classement, difficile de trouver un enjeu sur ce dernier match de la saison des bergeracoises. Quelle que soit l'issue de la rencontre, le BPPH terminera en effet troisième de sa poule. Mieux que l'an dernier, mais en-deçà de l'objectif de la deuxième place espérée derrière le cavalier seul d'Octeville.