Retour sur un weekend de ligue

Le sort des quinze clubs périgordins de R2, R3, et R4 est désormais fixé. Chacun peut préparer la saison prochaine et construire son projet.

La Catte sera en régional 2 l'an prochain,
en compagnie d'Antonne et Prigonrieux.
© Droits réservés.

Cette fois, c'est fait. Chacun connaît désormais le sort qui lui est réservé. Ce weekend, la dernière journée de championnat pour les divisions R2, R3, et R4 a rendu son verdict. Les clubs périgordins, au nombre de quinze dans ces trois divisions, connaissent leur futur destin, heureux pour certains, bien tristes pour d'autres malheureusement...

Le portrait de la semaine

Pour les clubs de R2, R3, et R4, la dernière journée de championnat se déroule ce weekend. Il reste encore de l'enjeu pour certains des périgordins.

Sarlat joue sa survie en régional
du côté d'Agen ce weekend.
© Droits réservés.

La saison 2017-2018 aura été particulière sous bien des aspects pour la ligue de football de Nouvelle-Aquitaine. Tout d'abord par la réforme des championnats, et la suppression d'une division, ce qui aura généré des bouleversements dans le fonctionnement des promotions et relégations, et dans la physionomie et la gestion de la saison.

Bergerac en finale

Pour cet énième derby entre les féminines de Bergerac et Trélissac, ce sont les premières citées qui ont validé leur ticket pour la finale régionale.

Bergerac, supérieur dans le jeu,
s'est imposé logiquement face à Trélissac.
© François Berterreche.

Ce dimanche 20 mai à Boulazac, devant un public fourni, se tenait l'une des demi-finale de la coupe de Nouvelle-Aquitaine féminine. Pour cette première édition grand format, le département aura su tirer son épingle du jeu, puisque cette rencontre opposait Trélissac à Bergerac. Le huitième derby entre les deux équipes en deux saisons seulement.

Montpon renverse Bergerac

Montpon, qui tenait le rôle du petit, a renversé la réserve de Bergerac, trois divisions au dessus, pour s'adjuger la coupe de la Dordogne.

Montpon/Ménesplet peut fêter ce beau succès
face à la réserve de Bergerac, trois divisions au dessus.
© Sylvain Desgroppes.

C'est une opposition qui paraissait déséquilibrée sur le papier que proposait la coupe de Dordogne, pour cette édition 2017-2018 dont les finales se tenaient à Saint Aulaye ce dimanche. D'un côté, la réserve de Bergerac, favorite du match, qui évolue en R1. De l'autre côté, Montpon/Ménesplet, club de R4, habitué de ces beaux parcours en coupe.

Boulazac de si peu

Très accrochée, la finale de coupe du district se sera jouée comme l'an passé aux tirs au but. Une épreuve qui aura désigné Boulazac vainqueur.

Boulazac B s'est imposé au bout du suspense
aux tirs au but en finale de coupe du district.
© Sylvain Desgroppes.

Pour ouvrir la journée des finales de coupes ce dimanche à Saint Aulaye, la finale de la coupe du district entre les deux réserves de clubs de ligue, celles de Boulazac et de Mussidan, s'annonçait serrée. Elle l'aura longtemps été, désignant finalement l'équipe favorite au coup d'envoi comme vainqueur.

Notre Dame évidemment

Déjà assuré de monter à la fin de la saison, Notre Dame de Sanilhac a réalisé un doublé avec beaucoup de maîtrise en coupe.

Notre Dame de Sanilhac s'est imposé
logiquement sur ce challenge Séripub24.fr
© Sylvain Desgroppes.

Finale toujours très animée, sur le terrain comme en tribunes, le challenge Séripub24.fr a tenu toutes ses promesses encore cette saison. Cette compétition, qui est limitée aux équipes évoluant en D3 ou en dessous, mettait face à face Notre Dame de Sanilhac, déjà assuré de monter en D2, et Meyrals, club de haut de tableau de D3.

La jeunesse de Montpon

Face à des castellévéquoises plus expérimentées, les jeunes montponnaises ont fait la différence progressivement sur des attaques rapides.

En gagnant ce challenge féminin,
Montpon réalise le doublé coupe/championnat.
© Sylvain Desgroppes.

En challenge féminin à 8, la rencontre entre Montpon et Château l'Évêque s'annonçait serrée, les deux équipes ayant fini en haut de tableau de l'interdistrict Dordogne-Lot-et-Garonne (respectivement première et quatrième). Chez les deux coaches, on se craignait réciproquement avant le match, l'un en rapport à la plus grande expérience des joueuses de Château l'Évêque, l'autre par rapport aux qualités offensives de vitesse de Montpon.

Un pas de plus

En s'imposant face à Toulouse, Bergerac maintient le rythme, et fait un pas de plus vers la montée, à une journée de la fin de la saison.

Souad Titou et le BPPH ne sont plus
qu'à une victoire de la D2.
© Archives Claude Chastenet.

L'essentiel est là. Une fois encore, tout n'aura pas été parfait pour les bergeracoises à domicile, mais, malgré une certaine inconstance dans le niveau de handball produit au cours de la rencontre, l'essentiel aura été assuré. Face à Toulouse, le BPPH a mené de bout en bout. Ce succès permet de conserver la deuxième place et d'avoir le destin entre ses mains avant d'aborder la dernière journée de championnat.

Un sourire pour finir

Dans une fin de saison délicate à négocier, le BPFC finit tout de même par quelques sourires en s'imposant face à Colomiers à domicile.

Florian Pourtuguez aura marqué
le but de la victoire pour le BPFC.
© Archives Sylvain Desgroppes.

Cette tradition aura au moins perduré. Après quatre matches sans victoires, le BPFC a produit l'effort suffisant pour remporter la dernière rencontre de la saison, comme lors des deux précédents exercices. Tout n'était pourtant pas gagné d'avance pour le BPFC, face à Colomiers, deuxième meilleure équipe à l'extérieur de la poule.

Comme on se retrouve

Une fois encore, les féminines de Bergerac et Trélissac se rencontrent en coupe. Un rendez-vous bien connu entre les deux équipes phares du département.

En octobre dernier, Bergerac était allé se qualifier
à Trélissac en coupe de France.
© Sylvain Desgroppes.

C'est un éternel recommencement. Ce dimanche, en demi-finale de la coupe de Nouvelle-Aquitaine, première du nom, la Dordogne va vivre un autre de ces derbys préférés. Entre les féminines du Bergerac Périgord FC et celles du Trélissac FC, ce n'est pas une nouveauté. Loin de là. Entre la saison dernière et celle-ci, il s'agit du huitième match officiel.

Se quitter sur une bonne note

Pour son dernier match de la saison, à domicile, le dernier match aussi pour le staff, le BPFC espère faire le spectacle face à Colomiers.

Pinto et l'attaque bergeracoise
vont tenter de bien finir à Campréal.
© Laurent Guine.

Le Bergerac Périgord Football Club s'apprête à vivre ses derniers instants de la saison 2017-2018. Une saison riche en émotions, de la reprise des entraînements le 11 juillet 2017, jusqu'à la défaite contre Toulon le 14 avril dernier, au soir d'une vingt-sixième journée condamnant les derniers espoirs de montée de Fabien Pujo et ses hommes.

Plus d'erreur possible

Malgré une saison sans continuité dans la performance, Bergerac a son destin entre ses mains. Mais il n'y a plus le droit à l'erreur désormais.

Chbira et les bergeracoises vont devoir montrer
une détermination de tous les instants face à Toulouse.
© Claude Chastenet.

C'est avec le sourire d'une victoire difficilement acquise à Mios que les bergeracoises ont repris leurs entraînements cette semaine. Ce précieux succès, 29-30, permet en effet au BPPH de rester deuxième, certes à égalité avec Pessac et Bègles, mais avec son destin entre ses mains. « À cette période, toutes les victoires sont importantes. C'est sur la capacité à enchaîner les matches que tout va se jouer », estime Pascal Carfantan.

Bergerac, favori logique

La finale de la coupe de Dordogne oppose deux clubs périgordins de ligue, pour une belle affiche où Montpon va tenter de déjouer tous les pronostics.

La réserve de Bergerac, favorite de la finale,
devra se méfier de Montpon.
© BPFC.

Comme le veut la tradition, c'est la coupe de Dordogne qui viendra clôturer la journée des finales de coupes départementales en senior, du côté de Saint Aulaye. Au programme, une belle affiche, entre deux clubs périgordins évoluant dans les divisions régionales. Cela promet une rencontre intéressante, chacun jouant sa partition, la réserve de Bergerac celle du favori logique, Montpon celle de l'outsider n'ayant rien à perdre.

Une finale serrée

Entre les réserves de Boulazac et Mussidan, s'il y a une division d'écart, la finale promet tout de même d'être très serrée, et surtout d'être ouverte.

La réserve de Boulazac, D1,
sera opposée à celle de Mussidan, D2.
© ES Boulazac.

Pour cette finale de coupe du district, compétition réservée aux équipes réserves des divers clubs périgordins, l'opposition entre Boulazac B et Mussidan B promet d'être très équilibrée. Les deux équipes ont beaucoup de caractéristiques similaires. Elles appartiennent toutes deux à des clubs dont l'équipe fanion évolue en ligue, R1 pour Boulazac, R4 et bientôt R3 pour Mussidan. Elles sont aussi toutes les deux en pleine confiance après une belle saison.

Finir en beauté

Pour Notre Dame de Sanilhac comme Meyrals, dans une fin de saison sans enjeu en championnat, la coupe est l'occasion de s'offrir une belle conclusion.

Corgnac et Marsaneix/Manoire
s'étaient affrontés dans une finale serrée l'an passé.
© Archives Sylvain Desgroppes.

Profiter. Prendre du plaisir. Vivre pleinement un si beau moment. Donner à la saison une saveur particulière. Voilà les objectifs pour Notre Dame de Sanilhac et Meyrals, les deux clubs finalistes du challenge Séripub24.fr. Une finale qui promet d'être ouverte et spectaculaire entre deux clubs du haut de tableau de D3, qui ont envie de (se) prouver quelque chose.

Un beau challenge

Le challenge féminin à 8 propose une belle finale, entre deux des touts meilleurs clubs périgordins de la catégorie sur le championnat cette saison.

Vainqueur l'an passé, Trélissac a été battu
par Château l'Evêque en demi-finale cette saison.
© Archives Sylvain Desgroppes.

Le challenge féminin à huit, qui se déroule sur demi-terrain, devrait proposer un match spectaculaire pour cette journée des finales. Très disputée, la compétition mettait face à face les quatre meilleures équipes de la saison de championnat lors des demi-finales. Preuve de l'intérêt qui lui est porté.

Retour sur un weekend de ligue

La fin de saison est longue pour la réserve trélissacoise, qui a perdu le fil depuis le mois de mars, après avoir assuré le maintien en R1.

La jeune réserve trélissacoise a du mal
à terminer sa saison...
© Droits réservés.

Les matches s'enchaînent, et le résultat est malheureusement toujours le même pour la réserve trélissacoise, qui n'a plus gagné depuis deux mois en Régional 1. Une petite déconcentration avec le maintien acquis, un effectif réduit, les raisons sont multiples pour expliquer la chute de l'équipe au classement.

La fin est longue

En déplacement chez le leader, à la lutte pour la montée, Bergerac a lutté avant de craquer. C'est le quatrième match sans victoire pour les périgordins.

Battus en Dordogne, Marignane a pris sa revanche
sur Bergerac et se rapproche encore de la montée.
© Archives Boris Rebeyrotte.

La fin de saison semble décidément bien longue pour le Bergerac Périgord Football Club. Le club avait entamé cet exercice 2017-2018 avec de grandes ambitions, légitimes par rapport à la progression continue du groupe, au travail du staff, et à l'effectif constitué. Malheureusement, tout aura pris fin lors d'une défaite à domicile contre Toulon, 0-2 le 14 avril dernier, lors de la vingt-sixième journée.

L'espoir demeure

Victorieux au bout du suspense à Mios, le BPPH conserve sa deuxième place dans un sprint final toujours aussi intense pour la montée en D2.

Parfois dans la douleur, Bergerac s'est défait de Mios
et peut encore croire à la montée !

Après une semaine de repos salutaire, qui faisait suite à cinq journées de championnat consécutives, le Bergerac Périgord Pourpre Handball retrouvait la compétition ce weekend. Le tout dans une poule toujours aussi serrée, avec le neuvième, Pays d'Aix, à trois points du deuxième, Bergerac, avant la soirée. Ce qui signifie une marge d'erreur très mince à chaque rencontre, une majorité des équipes pouvant croire à la montée, et tous jouant sans pression, puisqu'il n'y aura pas de descente.

Le sprint final est lancé

Derrière Cannes, la bataille fait rage pour prendre la deuxième place synonyme d'accession. À trois journées de la fin, la marge d'erreur se réduit.

La réussite aux tirs de la ligne arrière du BPPH,
ici Svetlova, sera déterminante ce samedi à Mios.
© Claude Chastenet.

« On a trois gros matches qui nous attendent, il faudra trois victoires pour réaliser le projet du club qui est d'accéder à la D2 ». Les mots de Pascal Carfantan ont le mérite d'être limpides. À trois journées de la fin, son équipe n'a plus le choix. La marge d'erreur est réduite face au nombre important d'équipes encore en course, et c'est probablement le club qui réalisera le parcours parfait qui montera. En sachant que le BPPH a encore son destin entre les mains.

Essayer de bien finir

Après avoir vu ses illusions s'envoler suite à trois matches sans victoire, le BPFC doit se remobiliser pour bien finir sa saison et aller chercher une place d'honneur.

Belbachir et les bergeracois vont tenter
de jouer les trouble-fête à Marignane.
© Laurent Guine.

La montée ne sera pas encore pour cette année. Quatrième puis troisième, le BPFC a encore échoué dans le sprint final de cette édition 2017-2018, après avoir été présent toute la saison dans le haut de tableau. Les bergeracois de Fabien Pujo auront craqué à cinq journées de la fin. Plus tard que d'habitude tout de même. Reste à finir du mieux possible pour ne pas tout gâcher...

Le portrait de la semaine

À deux journées de la fin, l'avenir de nombreux clubs périgordins est désormais connu. Mais pour certains, le suspense demeure entier...

Mussidan est en course pour finir champion de sa poule de R4.
© Droits réservés.

La saison 2017-2018 touche à sa fin. Une saison particulière pour de nombreux clubs, qui auront peu joué pendant plusieurs mois, avant d'enchaîner les rencontres depuis le mois de mars. A deux journées de la fin, la plupart connaissent maintenant leurs sorts. Mais pour certains, le suspense demeure encore entier, et la pression se fait fortement ressentir alors qu'il reste cent quatre-vingts minutes à jouer.

L'interview de la semaine

Parti de très loin, le Rouffignac d'Alexandre Da Costa Lacerda peut encore espérer son maintien en régional à deux journées de la fin.

Le coach Alexandre Da Costa Lacerda
garde confiance depuis le début de la saison.
© Droits réservés.

Sylvain Desgroppes : Comment avez-vous géré votre mauvais départ ?

Alexandre Da Costa Lacerda : On fait trois gros faux pas contre Targon (1-2), à Limens JSA (3-0), et contre Coteaux Libournais (3-4). Ces trois défaites nous ont mis dedans dès le début de la saison, car on a pris beaucoup de retard. Encore plus à la trêve avec plusieurs matches en moins, on était décroché (trois nuls, trois défaites). Mais on a toujours gardé notre calme, on s'était retrouvé à ce moment-là avec plusieurs cadres absents, et par conséquent un groupe plus jeune. Il fallait être patient, on savait que la saison était encore longue.

Le match à suivre

Les sarladais, qui n'ont pas trouvé le chemin de la victoire depuis novembre, sont en danger en R3. Le maintien en régional est en jeu.

Sarlat est en danger en régional
à deux journées de la fin des championnats...
© FCSM 24.

Quand rien ne va... Descendus deux fois consécutivement, les sarladais du coach Olivier Liblanc pensaient enfin stopper l'hémorragie cette saison. La réforme des championnats pouvait même les aider. En R3, les six premiers ont l'occasion de monter en R2, et seul le dernier descend. Même si le danger est immense, puisque sans R4 l'an prochain, la lanterne rouge est directement rétrogradée en district...

Une page se tourne

Après deux ans au club, l'aventure de Christian Ortega se termine à Gardonne. L'occasion de revenir sur le bilan sportif de ces deux derniers exercices.

Après deux saisons à Gardonne,
Christian Ortega quitte le club sur un bilan positif.
© Archives Yannick Monsec.

Le sport de haut niveau est fait ainsi. Chaque fin de saison, une page se tourne. En ce mois de mai, c'est l'aventure périgordine de Christian Ortega qui se termine avec l'ES Gardonne. Après deux ans sur le banc de touche, le coach et le club ont mis un terme à leur collaboration. Malgré une triste fin depuis quelques mois, le bilan global reste satisfaisant.

Un dernier échec

À Toulouse, l'ES Gardonne a fourni une nouvelle prestation loin de ses standards... Cette dernière défaite met fin à la saison 2017-2018.

Les gardonnais ont manqué de solutions
face à de solides toulousains.
© Archives Pascal Lacroix.

Et de quatre. En déplacement à Toulouse, Gardonne s'est incliné pour la quatrième fois de rang, championnat et coupe confondus. Il s'agit aussi de la quatrième défaite consécutive en championnat. Quatre sévères revers, avec des attaques inexistantes et des défenses aux abonnées absentes. Un goal-average de -106 concédé au total qui vient gâcher cette saison et surtout une aventure de deux ans pour le coach Christian Ortega.

Un dernier match...

Démobilisé depuis quelques semaines, l'ES Gardonne a cependant un dernier match à jouer à Toulouse. Dans quel état d'esprit ?...

L'ESG de Benon avait fait chuter Toulouse
lors du match aller cette saison.
© Pascal Lacroix

Enfin. En se déplaçant à Toulouse, l'ES Gardonne dispute son dernier match de la saison. Et il était temps, face au calvaire vécu ces dernières semaines... Depuis la victoire à Castelnau, N3, en super coupe Sud Ouest, Gardonne s'est totalement désinvesti. Les semaines se sont enchaînées sans que jamais une réaction n'apparaisse.

Un échec de plus

Après deux lourds revers en championnat, l'ESG espérait retrouver le moral en coupe. Mais ce quart de finale n'a été qu'un échec de plus dans cette triste fin de saison.

Malgré le bon début grâce à Benon,
Gardonne a encore coulé dans ce match.
© Yannick Monsec.

Les gardonnais avaient quitté le terrain la tête basse vendredi soir, en perdant lourdement leur dernier match de la saison à domicile face à Dax (65-92). Le coach espérait alors que malgré ce triste visage, son équipe serait capable de se remotiver pour relever un tout autre défi, celui de la super coupe Sud Ouest, avec un quart de finale à disputer ce mardi 1er mai.

Une dernière marche

Dans une fin de championnat compliquée, Gardonne peut retrouver le sourire en coupe Sud Ouest. Il reste un match à gagner pour aller à Pomarez.

Gardonne va devoir retrouver de l'allant et de la
motivation pour espérer voir le Final Four de Pomarez.
© Yannick Monsec.

La super coupe Sud Ouest pour retrouver le plaisir collectif de jouer au basket ? C'est dans cette compétition que l'ESG a depuis plusieurs semaines déjà fondé ses derniers espoirs... Car depuis le mois de janvier et le début de la phase retour, les résultats en championnat sont bien ternes : trois victoires seulement, pour huit défaites...