Les ambitions sont là

La saison 2015-2016 à peine terminée, le BPPH est déjà en ordre de bataille pour la prochaine, avec de nouvelles ambitions.

Aux côtés du directeur sportif Michel Cassier et du président
Eric Froin, le nouveau coach Gaël Monthurel
et le cadre technique Corantin Duffau.
© Didier Cassier.

Il y a un an, à la même époque, quelques inquiétudes pouvaient exister quant aux ambitions du BPPH, qui abordait alors la dernière saison du projet 2013-2016. Sur la fin, et malgré quelques difficultés, les principaux objectifs ont finalement été atteint. La N1 a accroché le top 5, pendant que la réserve est remontée en Prénationale.

Jil Teichmann, la suissesse qui monte

Le 20e Engie Open du Périgord s'est conclut par la victoire de la suissesse de 18 ans Jil Teichmann, en pleine forme et dont l'avenir est prometteur.

Jil Teichmann (en bleu) a signé un deuxième victoire
en deux semaines en 25000$ en dominant Olga Saez Larra.
© Eube-captennis.

La finale de l'Engie Open du Périgord s'annonçait serrée entre la suissesse Jil Teichmann et l'espagnole Olga Saez Larra. Deux joueuses à l'aise en fond de court, qui se sont appuyées tout le tournoi sur un coup droit puissant et un service efficace.

Une championne à Périgueux

Ambassadrice Engie, l'ancienne championne française Nathalie Dechy, a consacré deux jours au tournoi de Périgueux cette semaine.

Nathalie Dechy a passé deux jours à Périgueux sur le tournoi.
© Laurent Guine.

Nathalie Dechy, joueuse professionnelle de 1996 à 2009, était de passage sur l'Engie Open du Périgord cette semaine. L'occasion de taper dans la balle avec les jeunes locaux, et de parler de sa reconversion, toujours dans le tennis. Membre de l'équipe de France de Fed Cup avec laquelle elle a disputé plus de trente matchs, elle a été classée 11e à son meilleur en2006 et a passé douze ans dans le top 100 mondial.

Une finale ouverte

Annoncées équilibrées, les deux demi-finales auront vite basculé ce vendredi. La finale promet d'être engagée aujourd'hui à 17h.

Ce samedi, l'Engie Open du Périgord vivra son dernier match
de l'édition 2016, la finale du simple.
© Laurent Guine.

L'an passé, les deux françaises Mathilde Johansson et Chloé Paquet s'étaient affrontées en finale, pour le plus grand bonheur du public périgourdin. Cette année, aucune française ne sera au rendez-vous.

De belles affiches

L'Engie Open du Périgord approche déjà de son terme, avec les demi-finale en simple et la finale en double ce vendredi

Les cours sont prêts à accueillir les derniers matchs du tournoi.
© Laurent Guine.

Le dernier carré de l'Engie Open du Périgord est connu. Si de réelles surprises ont émaillé les deux premiers tours du tournoi, ce sont finalement les joueuses les plus régulières, les plus efficaces dans leur jeu qui se retrouvent en demi-finale.

Le tennis, une passion, un métier

Portrait d'Elixane Lechemia, qui après trois ans d'absence, avait repris les ITF l'an passé du côté de Périgueux, où elle revient cette année.

Elixane Lechemia.
© Laurent Guine.

Au travers de toutes les joueuses du circuit ITF, beaucoup de profils se croisent. Un monde où toutes les origines se mélangent, et où certains profils sont plus atypiques que d'autres. C'est le cas d'Elixane Lechemia, qui après un début de carrière classique, avait fait le choix de partir trois ans aux Etats-Unis.

Des surprises en huitième

Le tableau de l'Engie Open du Périgord reste très ouvert au moment d'aborder les quarts de finale, où seules trois têtes de série sont encore en course.

La mexicaine Victoria Rodriguez
est la joueuse la mieux classée encore en lice.
© Laurent Guine.

Après les éliminations prématurées de deux têtes de série dès mardi et le premier tour de l'Engie Open du Périgord, les surprises ont continué de tomber mercredi, en huitièmes de finale. Et après Fiona Ferro, tête de série numéro 2, c'est Conny Perrin, la tête de série numéro 1, qui s'est fait éliminer par une surprenante espagnole.

Au coeur de l'arbitrage

L'Engie Open du Périgord a cette année un nouveau juge-arbitre, en la personne de Franck Sabatier, l'une des pointures de l'univers de l'arbitrage français.

Franck Sabatier.
© Eube-captennis.

L'Engie Open du Périgord a vu longtemps dans ses allées le très apprécié Stéphane Apostolou officier comme juge-arbitre. Ce dernier étant affecté ailleurs, pour cette vingtième édition, c'est un nouveau visage que les visiteurs périgourdins peuvent découvrir. Un visage qui n'est pas inconnu des joueuses ni des arbitres.

Direction les huitièmes

Le premier tour de l'Engie Open du Périgord a rendu son verdict. Avec finalement quelques surprises, et deux têtes de série éliminées notamment.

La française Lou Brouleau a signé l'une des belles performances
de la journée en éliminant Marie Benoit, tête de série.
© Laurent Guine.

Le choix a été vite fait entre la qualité des performances de certaines joueuses l'an passé du côté de Périgueux, et la forme du moment... La demi-finaliste Fiona Ferro et la finaliste de l'édition 2015 Chloé paquet ont toutes deux été sorties dès ce premier tour, face à des adversaires normalement à leur portée.

Le plaisir simple

Ce mardi, la jeune joueuse du CAP Léa Dubois Rebière entre dans le tournoi. Son premier ITF, à seize ans seulement.

Léa Dubois Rebière, à l'entraînement ce lundi
avant son premier ITF.
© Eude-captennis.

A seize ans, Léa Dubois Rebière ne se prend pas la tête. Elle aborde chaque moment de sa vie avec un plaisir simple, et le sourire. Toujours positive, elle profite, vit pleinement cette belle opportunité, le tout avec beaucoup de recul et de maturité.

Une entame sans surprise

Six des seize matchs du premier tour en simple se jouaient ce samedi à l'Engie Open du Périgord. Aucune surprise à signaler, avec des victoires plutôt larges. Cinq matchs se sont jouées en deux sets seulement, et sur quatre de ces matchs, la perdante n'aura pas inscrit plus de cinq jeux...

En route pour le titre

Les qualifications terminées, place désormais au tableau final de ce vingtième Engie Open du Périgord, avec quatorze françaises en course.

Entre les gouttes et avec des terrains compliqués samedi pour le premier tour, avec le retour progressif du beau temps et des terrains en amélioration ce dimanche pour le deuxième tour, les qualifications de l'Engie Open du Périgord ont rendu leur verdict ce weekend.

C'est parti à Périgueux

L'ouverture du tournoi aura mis du temps à être effective, mais après de nombreux doutes, les quatre matchs du premier tour de qualification se sont bien déroulés à l'Engie Open du Périgord.

Les matchs devaient commencer à 10h, le premier n'aura débuté qu'à 14h30 du côté du CAP tennis ce samedi. Il aura fallu beaucoup de patience et des qualités d'adaptation aux joueuses afin de rester concentrées.

Un été de restructuration

L'ESG met à profit l'intersaison pour mettre en place son équipe N2, mais aussi structurer l'ensemble du club et les postes de salariés.

Le président Philippe Pedegai, porté en triomphe
par ses joueurs lors de la montée en N2 en mars 2015.
© Pascal Lacroix.

C'est une nouveauté, un phénomène presque inhabituel, mais cette saison, Gardonne ne monte pas. Après quatre montées consécutives permettant au club d'accéder à la N2, cette saison, le club c'est « simplement » maintenu.

« Gardonne, un club qui grandit »

Après deux années sous Sylvain Lautié, le club veut continuer d'avancer avec l'arrivée de son nouveau coach, Christian Ortega.

Christian Ortega, nouveau coach de l'ESG.
© Sud Ouest.

Sylvain Desgroppes : Pouvez-vous retracer votre parcours ?

Christian Ortega : Le club de Gamarde m'a donné l'opportunité de débuter comme entraîneur en 2002. Avec eux, je suis passé d'Honneur à la N3. J'ai ensuite été manager général du Havre (Pro A), avant de faire trois saisons à Marmande (N2, 2007-2010), avant d'aller à Hagetmau (N3) ces trois dernières années, plus une pige en parallèle aux JSA Bordeaux lors de cette fin de saison. Avant tout cela, j'ai joué à Pau de 1980 à 1991.

Du tennis de haut niveau en Périgord

L'Engie Open du Périgord, tournoi féminin de l'ITF, commence dès ce samedi avec deux jours de qualifications.

Le site du CAP.
© Sylvain Desgroppes.

En 2016, l'Engie Open du Périgord fête son vingtième anniversaire. Un signe de solidité pour ce tournoi de tennis féminin de l'International Tennis Federation, doté de 25000$. Comme chaque année, le tournoi s'ouvre par deux jours de qualification.

Une finale féminine enlevée

Au bout d'une finale à suspense et prolifique en buts, c'est finalement le Périgord Vert, favori, qui s'est imposé.

Périgord Vert, vainqueur du Challenge féminin à 8.
© Sylvain Desgroppes.

Malgré les deux divisions d'écart au départ du match, la finale de ce challenge féminin s'annonçait relativement équilibrée entre le Périgord Vert (D1) et Vergt (D3). Parce que le premier a fini en bas de son niveau, quand le deuxième a fini en haut du sien. Parce que les dynamiques des deux équipes étaient inverses. Parce qu'un match de coupe, qui plus est une finale, rééquilibre toujours les forces en présence.

Trélissac, vainqueur par expérience

En clôture de la journée, la finale de la coupe de Dordogne a permis aux trélissacois de s'imposer dans un match maîtrisé face à Montpon.

Trélissac B, vainqueur de la coupe de Dordogne.
© Sylvain Desgroppes.

De l'enjeu et du suspense, il y en avait plus qu'il n'y paraît en finale de la coupe de Dordogne. Certes, en éliminant la réserve de Bergerac, l'autre grosse équipe engagée dans la compétition, la B de Trélissac (DH) pouvait penser avoir fait le plus dur en demi-finale.

Sarlat au bout du suspens

Pour lancer la journée, la coupe de district a donné Sarlat B vainqueur dans un match fermé et peu enflammé.

Sarlat B, vainqueur de la coupe du district.
© Sylvain Desgroppes.

Le premier match de cette journée de coupe mettait face-à-face les deux meilleures équipes en course dans la compétition, les PL de Bergerac C et Sarlat B. Une affiche alléchante sur le papier, moins sur le terrain, où le match s'est vite annoncé fermé et tendu.

Victoire méritée pour Chancelade

En challenge Séripub24.fr, la logique a été respectée, même si Chancelade/Marsac a du en passer par les penaltys pour s'imposer.

Chancelade/Marsac, vainqueur du Challenge Séripub24.fr.
© Sylvain Desgroppes.

Difficile de désigner un favori au départ de cette finale du challenge Séripub24.fr. Chancelade/Marsac et la réserve de Razac évoluent tous deux au même niveau, la deuxième division de district, et sont bien décidées à l'emporter.

Vers une surprise ?

Le favori n'est peut-être pas celui attendu dans cette finale du challenge féminin à 8, où Vergt est prêt à bousculer la hiérarchie.

Au départ, la favori paraît tout désigné, entre une équipe du Périgord Vert qui évolue en première division du district, le plus haut niveau départemental, et Vergt qui se trouve deux étages en-dessous, au plus bas du district Dordogne-Périgord.

Tout sur un match

Dans cette finale de coupe de Dordogne, l'écart entre Montpon et la réserve trélissacoise pourrait ne pas être si flagrant.

En apparence, la finale de la coupe de Dordogne 2016 paraît déséquilibrée, et la réserve de Trélissac, qui évolue en DH, largement favorite face à Montpon, qui était encore en PL cette saison. Mais à Montpon, on veut évidemment y croire, quand du côté de Trélissac, le coach Frédéric Venou reste prudent.

Sauver la saison

Beaucoup de similitudes entre les réserves de Bergerac et Sarlat, qui ont vécu de longues saisons et n'évolueront plus qu'en district l'an prochain.

La finale de cette coupe du district offre une opposition originale, entre deux équipes qui finissent leur saison reléguées. Deux réserves qui étaient toutes deux en PL cette année, mais dont les résultats ont vite montré que le maintien serait bien compliqué à aller chercher.

Ça s'annonce serré

Entre les deux équipes de Deuxième Division, la finale du Challenge Seripub24.fr promet d'être serrée, et il faudra être solide mentalement pour l'emporter.

Les premiers mots de Vincent Riboulet, le coach de Razac B, sont clairs : « C'est une finale, ce sera du 50/50 comme toujours ». Les arguments mènent en effet tour à tour d'un côté ou de l'autre pour savoir qui pourrait être le favori de ce match.

Bilan d'une première expérience

Après deux saisons intenses, Sébastien Eyheramono quitte la N1 de Bergerac pour entraîner les garçons l'an prochain.

Sébastien Eyheramono
© Philippe Greiller.

Sylvain Desgroppes : Que retenez-vous de cette première expérience en N1 ?

Sébastien Eyheramono : C'était une bonne expérience pour moi de pouvoir travailler à haut niveau. Plusieurs filles du groupe, Adeline Bournez (la saison dernière, NDLR), les deux gardiennes, Marion Fayemendy ou Sandra Lapajne ont connu le niveau encore au-dessus, et cela a tiré tout le monde vers le haut. J'ai pu voir comment ces filles jouaient, comment elles avaient été formées. Ce que j'ai apporté, c'est leur apprendre à mieux regarder où se trouve la coéquipière, comment se positionner et se déplacer dans nos systèmes d'attaque, travailler les relations, notamment autour du pivot...

L'exploit était si proche

En déplacement à Caen, les bergeracoises sont passées très près de l'exploit, avec une victoire 3-0 mais qui ne suffit pas pour se qualifier...

Le groupe bergeracois a montré sa force collective à Caen.
© Photo D.R.

Le weekend dernier, les bergeracoises ont terminé leur saison par une performance à la hauteur de leur talent. Certes, la qualification n'est pas à la clé. Mais à Caen, les
« machines » se sont remises en route et ont montré ce qu'elles valaient pour défendre les couleurs de la ligue d'Aquitaine. Elles sont peut-être éliminées, mais les promesses sont là pour l'avenir.

Une fin heureuse et méritée

Avec son plus large succès de la saison, le BPFC a bouclé de la plus belle des manières un premier exercice réussi en CFA.

C'est donc à la quatrième place que le Bergerac Périgord FC termine sa première année en CFA. Les chiffres sont significatifs d'une saison réussie. Quinze succès, soit 50% de victoires sur la saison, autant que Concarneau qui monte en National. Et la barre des quatre-vingt points franchie, ce que dix équipes seulement ont réussi à faire dans les quatre poules confondues de CFA.

Pour se faire plaisir

Battues 5-2 lors du match aller, les bergeracoises se déplacent à Caen revanchardes, avec l'envie de se rattraper et pourquoi pas de faire plus...

La mission s'annonce bien difficile pour le BPFC à Caen ce dimanche. Dans ce match retour des barrages d'accession à la D2, les bergeracoises doivent rattraper un lourd handicap, suite à leur défaite 5-2 lors du match aller à Campréal dimanche dernier.

Revue d'effectif

Fin de saison ne rime pas avec repos pour les clubs de foot. A Bergerac comme ailleurs, le mercato est déjà lancé...

Grégory Covin, aux côtés de son nouveau président
Christophe Fauvel lors de la signature ce vendredi 3 juin.
© BPFC

Alors que la fin de saison approche, Fabien Pujo et son staff ont rencontré l'ensemble des vingt-six joueurs pour évoquer leur avenir au BPFC. Le cas des deux gardiens Anthony Loustallot et René Dolivet paraît le plus incertain à régler. Mehdi Feqrache jouera son dernier match à Bergerac, devant son public, avant son départ à Nantes. Kamissoko et Fuchs, en contact avec des clubs professionnels, devraient aussi jouer leur dernier match avec le BPFC.

La fin d'une longue saison

Pour son dernier match officiel de la saison, le BPFC reçoit Plabennec à Campréal avec l'envie de bien finir devant son public.

Ce samedi, le Bergerac Périgord FC va jouer à domicile son dernier match officiel de la saison 2015-2016. Une saison compliquée à finir, mais qui reste exceptionnelle. Pour son retour en CFA, Bergerac a d'ores et déjà assuré sa quatrième place, avec en complément une finale de coupe d'Aquitaine.

Une montée historique

Avec la montée des U19 en national, c'est une nouvelle démonstration qui est faîte de la politique de formation du Trélissac FC.

Le groupe U19
qui monte en National.
© Photo D.R.

C'est une saison exceptionnelle que viennent de boucler les U19 de Trélissac. Invaincue après vingt-deux journées de championnat, championne à quatre journée de la fin, l'équipe coachée par Rachid Kerkri a vécu une saison hors du commun.

Une année d'invincibilité

Retour sur un championnat maîtrisé de bout en bout par les U19 de Rachid Kerkri, qui finissent leur saison invaincus.

Rachid Kerkri et son groupe ont vécu une année intense.
© Photo D.R.

En vingt-deux journées de championnat, jamais le TFC n'aura connu la défaite. Un résultat exceptionnel pour cette équipe qui montait tout juste à ce niveau, avec à sa tête un coach arrivé début août.