A
l'extérieur, Boulazac est allé chercher une victoire probante ce
weekend, pour rester bien placé avec toujours un match en retard.
Sur
le terrain de la réserve du Bassin d'Arcachon, invaincue avec une
victoire et un nul en deux journées, le promu Boulazac et son
nouveau coach Frédéric Muller n'ont presque jamais douté dimanche.
Avec
tout d'abord une entame de match parfaite, et un but de la tête de
Duranthon sur coup-franc dès la 5e minute. De quoi se mettre en
confiance. Et si les locaux sont ensuite sauvés par leur barre
transversale, puis reviennent vite au score suite à un corner mal
dégagé (20e), Boulazac ne panique pas.
«
Dans la circulation de la balle, dans le jeu en triangle
appui/remise/profondeur, dans l'application des consignes, la
première mi-temps a été aboutie. Cela va me servir de référence
pour continuer à travailler », détaille Frédéric Muller. Ce
travail est récompensé par un deuxième but à la demi-heure de
jeu, cette fois de Bordas, permettant à son équipe de rentrer aux
vestiaires en tête.
Mais
le début de deuxième période va être plus compliqué. C'est
peut-être le plus mauvais moment du match pour Boulazac. « On avait
moins de fraicheur. Et on est revenu avec l'idée de préserver le
score, on a moins joué, on était un peu perdu par rapport à la
réponse tactique adverse, et on encaisse un but sur coup franc à la
60e », explique le coach boulazacois.
Le
temps pour lui de remettre les choses en place, et le match se
rééquilibre. Boulazac reprend le contrôle du ballon, et marque une
dernière fois à trois minutes du coup de sifflet final par Tauzier
pour une belle victoire 3-2.
« C'était un match plaisant, avec un bon état d'esprit et deux équipes qui ont essayé de poser le jeu », analyse un coach tout heureux de sa journée. « On est parti dès le matin. Le président avait tout bien organisé, avec un restaurant, et un bon moment passé tous ensemble. Les joueurs apprécient ces moments-là », conclut-il.
« C'était un match plaisant, avec un bon état d'esprit et deux équipes qui ont essayé de poser le jeu », analyse un coach tout heureux de sa journée. « On est parti dès le matin. Le président avait tout bien organisé, avec un restaurant, et un bon moment passé tous ensemble. Les joueurs apprécient ces moments-là », conclut-il.
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