Avec
son premier match en Trophée Coupe de France, Gardonne va pouvoir
continuer à travailler avec plus de sérénité et essayer sa
nouvelle recrue.
Ce
dimanche, Gardonne va faire son entrée dans le Trophée Coupe de
France. Une compétition dont l'accès est libre et gratuit, et
réservé au maximum aux équipes de Nationale 2. « Cela permet de
donner un match de compétition en plus aux gars, pour se remettre en
jambes après une semaine sans match et avant la réception décisive
de Valence/Condom », résume Philippe Pedegai.
Même
si la dynamique de résultats n'est pas là, le président de l'ESG
estime en effet qu'il faut garder un certain rythme pour travailler
efficacement. « On est l'une des rares équipes en N2 à ne
s'entraîner que deux ou trois fois par semaine... Si en plus on
n'avait pas ce match, on manquerait de rythme », rappelle-t-il.
Dimanche,
Gardonne jouera donc en quart de finale le vainqueur de la veille,
entre Coteaux du Luy (N3) et Marmande (N2). Ce qui signifie de
grandes chances pour l'ESG de retrouver les marmandais, qui leur
avaient infligé leur première grosse défaite de la saison (88-73
le 17 octobre). « Sur le papier, ils sont plus forts », reconnaît
Philippe Pedegai. Mais pas question de se laisser abattre si
facilement pour le président.
Après
un gros mois supplémentaire de travail physique, les joueurs
gardonnais commencent à remonter la pente. Si le collectif n'est pas
encore tout à fait en place, les joueurs sont plus affûtés, ils se
sont ressourcés pendant quinze jours, Philippe Senghor est de retour
dans le groupe, et la recrue Darko Kastratovic fera ses premiers pas
sous ses nouvelles couleurs. Autant d'arguments qui permettent
d'espérer voir venir des jours meilleurs pour Gardonne.
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